Au pouvoir depuis douze ans, le président, 51 ans, ancien professeur d'histoire fasciné par Adolf Hitler, maintient la Biélorussie, république ex-soviétique frontalière de l'Union européenne, dans une sorte d'âge de pierre politique et économique, assorti d'un isolement quasi complet sur la scène internationale. Se présentant comme le garant de la "stabilité", l'homme a assis sa popularité auprès de la population âgée des campagnes, insistant sur ses origines rurales. Son discours populiste et son langage de charretier font impression, ses méthodes font froid dans le dos. Evidemment, des sursauts révolutionnaire apparaissent parfois mais ils sont bien souvent réprimés dans la violence.
Les Etats-Unis, qui sont aussi désintéressés que De Villepin est ouvert au dialogue social, ont reconnu avoir injecté 21 millions de dollars (près de 17,5 millions d'euros) pour soutenir la démocratie dans le pays. Il faut évidemment lire, nous aidons la révolution afin de nous permettre d’établir des relations privilégiées avec ce pays à l’emplacement tellement stratégique…
J’en conviens, peut importe la finalité de cette démarche si elle permet de faire tomber un despote…mais parfois j’aimerais encore croire que l’acte gratuit existe….
PS J'ai subtilisé de façon ignobles quelques passages de ce post à une édition du Monde.
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2 commentaires:
dans l'hypothèse où l'acte gratuit existerait bien, je crois que le chercher dans le domaine de la géopolitiquec'est perdre son temps. ou comme chercher un sex shop au vatican
D'accord pour le terme mais Orsay continue à utiliser cette expression...
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